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بنات مين طبقت ميداني بمدرسه؟

السلام عليكم و حمة الله وبركاته

كيفكم حبيباتي ان شاء الله تكونوا بخير

بس حبيت أسأل مين فيكم بتدرس معلم صف؟؟؟؟؟؟؟؟؟

انا دوامي قرب كتير و هاد آخر فصل وبتخرج من الجامعه بإذن الله

ولازم بالنظام آخر فصل يكون في تدريب ميداني بالمدارس و بصراحه خايفه من التطبيق العملي

لأني سمعت إنو التطبيق العملي بالمدرسه بيختلف كتير عن المواد النظرية إلي بندرسها بالجامعه

وبدي نصائح شو أعمل بأول يوم أروح فيه عالمدرسه لأدرس الطلاب

وبكون شاكره كتير إلكم
:icon_cool:




موفقه



شكرا عالمرور
بس بتمنى من أصحاب الخبره يفيدوني بأي معلومه لو كانت صغيره
يمكن تكون مهمه بنظري خصوصا إذا كانوا معلمات أو في مجال التربية و التعليم
وشكرا كتير للجميع



؟؟؟؟؟؟؟؟؟؟؟؟؟؟؟؟؟؟؟



قلبي
وربي متعه التطبيق
انتي خليك قويه واثقه من نفسك
حتي لمن تحظر معك مدرسه الماده
والموجهه
كوني واثقه من نفسك
قدمي معلومات ابحثي في النت
كمان الوسائل مهمه
صدقيني فيه بنات لمن يطبقوا
افضل من مدرسه الماده
انتي اي تخصصك؟؟؟؟؟؟؟
اي سوال انا حاظره



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Petit lexique virologique

خليجية

PETIT LEXIQUE VIROLOGIQUE

خليجية

السلام عليكم أخواتي

مادة Virologie
درسناها في السنة السنة الثاثة من تخصص البيولوجيا التطبيقية Biologie Appliquée

وجدت هذا القاموس المصغر المهم لما كنت أبحث عن إمتحانات في هذه المادة

و في الحقيقة ساعدني كثيرا في هذه المادة

PETIT LEXIQUE VIROLOGIQUE


Ambisens :le génome de certains virus est un ARN monocaténaire segmenté. Un ou plusieurs segments sont ambisens : une portion du segment est ARN  et l’autre portion, soudée à la première, est ARN  Arenavirus et quelques Bunyavirus ont un tel génome.

Anti-oncogène : gène codant une protéine capable de s’opposer à l’action d’un gène oncogène.

Arbovirus :(arbovirus = arthropode borne virus)Virus transmis par piqûres d’arthropodes (insectes divers, surtout les moustiques, les tiques et les puces).On connaît plus de 500 arbovirus dont 80 sont capables d’infecter l’homme.

ARN polymérase : ce terme est utilisé lorsqu’une distinction ne peut être faite entre les enzymes de réplication (ARN répliquasses ou réplicases) et les enzymes de tranion (ARN tranases ou tranases) : c’est le cas pour l’enzyme du virus poliomyélitique.

ARN réplicase : ce terme est réservé à l’enzyme qui synthétise les brins génomiques (les génomes de la descendance), quelle que soit leur polarité. Abrégé : la réplicase

ARN tranase : ce terme est réservé à l’enzyme associée au virion et qui synthétise l’ARN messager. Abrégé : la tranase

Assemblage : phase terminale du cycle de multiplication d’un virus au cours de laquelle tous les composants nécessaires à la formation de nouveaux virions se condensent en des sites particuliers de la cellule et s’assemblent, le plus souvent par un processus d’auto assemblage.

Bactériophage : souvent appelé "phage" ; virus qui se réplique dans une bactérie.

Bourgeonnement : phase de libération des virus enveloppés par extrusion (on dit aussi par "bourgeonnement) à travers une membrane cellulaire (cytoplasmique le plus souvent, nucléaire, ou réticulum endoplasmique).

Brin codant, brin non codant : Une ambiguïté existe sur les termes de brin codant et brin non codant. En effet, pour certains auteurs, le terme de brin codant désigne soit le brin transcrit, soit le brin non transcrit. On a adopté la convention de désigner comme brin codant le brin non transcrit, c’est à dire le brin possédant la séquence de l’ARN messager codé (à une substitution de s près (U/T).

Brin négatif : brin d’acide nucléique dont la séquence de est complémentaire de celle du brin codant. Virus dont le génome est composé d’un brin d’acide nucléique négatif (le brin est souvent un ARN mais peut être aussi, rarement, un ADN).

Cadre de lecture : une des trois phases possibles de lecture de l’enchaînement des triplets sur un brin d’ADN ou d’ARN. Un cadre de lecture est dit "ouvert" pour une séquence nucléotidique ne comportant qu’une succession de codons signifiants (hormis le codon stop à son extrémité).

Capside : du grec capsa : la boite coque protéique rigide protégeant le génome viral. La capside permet de définir le type de symétrie du virus : hélicoïdale, icosaédrale (ou cubique), mixte (les phages avec une queue) ou complexe (Poxvirus).

Capsomère : unité morphologique de la capside, visible au microscope électronique, constituée par l’assemblage de sous unités protéiques identiques ou différentes.

Cellule en lignée continue : cellule devenue capable de croître indéfiniment (cellule "immortalisée"). Ainsi, les cellules Hela ont été isolées en 1951 d’une patiente atteinte d’un carcinome du col de l’utérus (Elle s’appelait Helen Lane). Les cellules en lignée continue sont utilisées pour la multiplication des virus.

Cis acting : élément génétique affectant l’activité d’une région contiguë (c’est à dire sur la même molécule d’acide nucléique). Promoteurs de tranion et " enhancers " sont des séquences " cis acting " adjacentes aux gènes dont ils contrôlent la tranion.

Coiffe : motif de 7-méthyl-guanine, rattaché au premier nucléotide des ARN messagers viraux de l’hôte et des ARN-m viraux par une liaison inhabituelle 5’ 5′.

Décapsidation : terme définissant les événements qui surviennent après la pénétration du virion dans la cellule hôte : la capside est partiellement ou totalement décomposée et le génome se trouve en contact avec le cytoplasme sous la forme d’un complexe nucléoprotéique.

Eclipse : période du cycle de multiplication d’un virus au cours de laquelle aucune particule virale complète n’est visible : la phase d’éclipse commence à la décapsidation et se termine à la phase d’assemblage. La période d’éclipse correspond aux synthèses des constituants du virus : réplication du génome et synthèse des protéines virales.

Enhancers : éléments génétiques agissant en cis (cis-acting elements) qui activent la tranion des gènes ou la traduction des ARN-m.

Enveloppe : membrane cellulaire remaniée acquise par les virus "enveloppés" au moment de la phase de libération.

Epissage différentiel : correspond à l’existence de plusieurs schémas d’épissage d’un transcrit primaire d’ARN, aboutissant à la formation de différents ARN-messagers et pouvant donner lieu à la synthèse de plusieurs protéines différentes.

Eucaryote : organisme dont le matériel génétique – des paires de chromosomes identiques (donc diploïde : 2 n) – est isolé du cytoplasme par une membrane nucléaire.

Forme réplicative (FR) : intermédiaire nucléique à deux brins d’ARN permettant la réplication du génome viral.

Gènes chevauchants : Une même séquence génétique peut être lue dans 2 ou 3 cadres de lecture différents, doublant ou triplant les capacités de codage.

Les Papovavirus, le virus de l’hépatite B utilisent cette stratégie économique.

Gènes précoces : gènes transcrits et traduits dès la pénétration du virus

Gènes tardifs : gènes viraux s’exprimant après le déclenchement de la réplication du génome viral

Hémagglutination : agglutination des globules rouges par des protéines virales (d’enveloppe ou de capside).

Hétéroduplex : appariement de chaînes nucléotidiques complémentaires, de nature différente (hétéroduplex ADN/ARN) ou d’origine différente.

Icosaèdre : (eikosi = 20) solide à vingt faces planes.

L’icosaèdre régulier a pour faces vingt triangles équilatéraux égaux.

Infection abortive : infection virale au cours de laquelle le cycle de multiplication s’arrête prématurément sans qu’il y ait production de nouveaux virions.

Infection productive : infection virale "complète" à l’issue de laquelle des nouveaux virions apparaissent.

Intégration : insertion d’une séquence exogène dans l’ADN génomique d’une cellule-hôte. Cette intégration est catalysée par une endonucléase nommée intégrase chez les rétrovirus. Le génome viral intégré sous forme d’ADN est appelé le provirus.

IRES: (internal ribosome entry site) Région du génome des virus à ARN + qui permet l’association des sous-unités ribosomiques et la traduction du génome viral.

Kb : (kilo =1000 nucléotides)

Unité de mesure des acides nucléiques monocaténaires.

Kbp : (kilo pairs = 1000 paires de nucléotides)

Unité de mesure des acides nucléiques bicaténaires.

Lysogénie : possibilité pour un phage de se maintenir sous une forme intégrée (prophage) dans l’appareil nucléaire d’une bactérie sans entraîner de lyse bactérienne.

L’induction : du prophage entraîne sa séparation du génome bactérien et son entrée dans un cycle de multiplication.

Maturation : phase tardive du cycle au cours de laquelle sont observés des changements de structure de la particule virale liés à la protéolyse de certaines protéines de capside par une protéase virale. La maturation est indispensable pour que la particule virale soit infectieuse.

Monocistronique : ARN messager (ARN-m) transcrit d’un seul gène (un cistron = un gène) et codant, par conséquent, un seul polypeptide. se dit aussi d’un génome viral produisant de tels ARN-m

Montage (splicing) : modification de l’ARN transcrit dans le noyau de la cellule eucaryote : les introns sont éliminés tandis que les exons sont collés bout à bout, l’ensemble constituant l’ARN messager qui se rend dans le cytoplasme où il sera traduit par les ribosomes. Les introns restent à l’intérieur – les exons sont exportés

Négatif : brin d’acide nucléique dont la séquence est complémentaire du brin codant. virus dont le génome est un brin négatif.

Nucléocapside : structure résultant de l’association des protéines de capside avec le génome viral. La nucléocapside représente le virion dans le cas des virus nus.

Oncogène : gène codant une protéine capable d’induire la transformation cellulaire. Un oncogène peut être d’origine cellulaire (gène c-onc) ou d’origine virale (v-onc).

ORF : (open reading frame= séquence à cadre de lecture ouvert) séquence nucléotidique encadrée par un codon d’initiation AUG en 5’ et par un des trois codons stop en 3’. Une telle séquence est donc susceptible de coder un polypeptide qui peut ne pas avoir encore été identifié.

Pandémie : épidémie mondiale. la grippe, le sida sont des pandémies

Peplos : du grec peplos = le manteauéquivalent de l’enveloppe virale (bicouche phospholipidique et protéines)

Plasmide : élément génétique extra chromosomique, capable de réplication autonome. De tels éléments sont fréquemment rencontrés chez les bactéries et codent des protéines intervenant dans le pouvoir pathogène (des facteurs de virulence) ou dans la résistance aux antibiotiques.

Polyadénylation : addition post-tranionnelle par la poly-A polymérase d’une longue séquence pouvant atteindre 200 adénines consécutives à l’extrémité 3′ de la plupart des ARN cellulaires et viraux en ce qui concerne les virus à multiplication nucléaire.

Polycistronique : ARN messager (ARN-m) transcrit de plusieurs gènes contigus (un cistron = un gène) et codant, par conséquent, plusieurs polypeptides. Cet ARN-m est traduit par les ribosomes en une protéine géante qui est ensuite fragmentée.

Polyprotéine : protéine géante synthétisée en une seule pièce et qui donnera naissance à plusieurs protéines fonctionnelles après fragmentation par des protéases virales.

Polyprotéine : résultat de la tranion d’un ARN-m polycistronique. Cette poly protéine est fragmentée par des protéases (virales ou cellulaires) en différentes protéines fonctionnellement différentes.

Positif : brin d’acide nucléique dont la séquence code une protéine. virus dont le génome est un brin positif.

Prion : anagramme de prion : proteinaceous infectious particle ; Protéines particulières que l’on pense responsables de maladies "infectieuses" touchant le cerveau : la maladie de Creutzfeldt Jakob chez l’homme, l’encéphalopathie spongiforme bovine.

Procaryote : micro-organisme dont le matériel génétique – un ADN bicaténaire circulaire unique (donc haploïde : 1 n) – se trouve dans le cytoplasme dont il n’est pas séparé par une membrane nucléaire. Les bactéries sont des procaryotes.

Promoteur : région de régulation située en amont de la partie codante des gènes composée du site de fixation de l’ARN polymérase et des sites de fixation des protéines régulatrices. Cette région agit en cis, comme promoteur de la tranion, en facilitant l’assemblage des protéines du complexe de tranion.

Prophage : génome d’un bactériophage tempéré (ADN bicaténaire) qui s’intègre dans le chromosome de la bactérie hôte. Dans certaines circonstances, le prophage quitte le chromosome et la bactérie multiplie le virus. voir induction.

Protéine de fusion : glycoprotéine virale incluse dans l’enveloppe qui est responsable de la fusion de l’enveloppe virale avec la membrane cellulaire introduisant ainsi la nucléocapside dans le cytoplasme de la cellule hôte.

Protéines précoces et protéines tardives : les protéines précoces, synthétisées avant la réplication, sont le plus souvent des enzymes intervenant dans la réplication du génome. Les protéines tardives sont synthétisées après la réplication : ce sont des protéines de structures : capside, glycoprotéines d’enveloppe, protéine de matrice…

provirus : la rétro tranion du génome des rétrovirus (ARN +) forme un ADN bicaténaire qui s’intègre dans un chromosome de la cellule hôte. L’activation du provirus entraîne sa tranion par la cellule et la multiplication du virus.

Quasi-espèces : ensemble d’une population de variants génétiques d’un même virus à ARN, et dont l’apparition est liée aux taux de mutations élevés rencontrés dans cette classe de virus au cours de la réplication virale.

Récepteur (viral) : molécule spécifique de la surface d’une cellule à laquelle un virus peut se fixer. Le récepteur d’un virus peut être une protéine ou un sucre d’une glycoprotéine ou d’un glycolipide membranaire.

Réplicase : enzyme responsable de la réplication du génome des virus à ARN.

Rétrotranion : synthèse d’un ADN complémentaire bicaténaire (ADNc) à partir d’un ARN, par la tranase reverse (ou rétro tranase)

Rétro transposon : élément génétique transposable, ressemblant au génome d’un rétrovirus et encadrée par des extrémités répétitives inversées.

Ribozymes : molécules naturelles d’ARN douées d’activité catalytique et se comportant comme des enzymes vis-à-vis des ARN.

Semi conservative : désigne le fait qu’au cours de la réplication chaque brin de la double hélice sert de matrice pour former une copie.

Signal d’emballage : région du génome viral dont la séquence nucléotidique interagit avec des protéines virales pour permettre l’incorporation d’un génome dans une particule virale.

Sonde : séquence d’acide nucléique (ADN ou ARN) d’au moins 15 nucléotides, homologue à une séquence d’ADN ou d’ARN, avec laquelle elle s’hybride de façon stable et spécifique par association entre s complémentaires. La sonde subit un marquage radioactif (au 32P, par exemple) ou froid (enzymatique, fluorescent, par chimio ou bioluminescence) afin de repérer et caractériser les hybrides.

Suppresseur (ARNt) : ARN-t produit par un gène muté et capable d’incorporer un acide aminé à l’emplacement d’un codon non-sens. Un ARN-t suppresseur lève le blocage de la traduction par un codon non-sens.

Syncytium : c’est le produit de la fusion de plusieurs cellules qui se présente sous la forme d’une masse cytoplasmique incluse dans une membrane et contenant plusieurs noyaux séparés.

Transduction : transfert de matériel génétique d’une bactérie à une autre (ou d’une cellule à une autre) par l’intermédiaire d’un virus.

Trans-acting : (facteur agissant en trans.) élément génétique codant une protéine diffusible qui agit sur des sites de régulation proches ou non du site où elle est produite. protéines diffusibles capables de moduler l’activité, en plus ou en moins, d’un ou de plusieurs gènes, en interagissant avec les séquences régulatrices (promoteurs).

Tranase : enzyme responsable de la tranion du génome des virus à ARN  qui est obligatoirement présente dans le virion.

Transfection : infection d’une cellule réalisée artificiellement par l’introduction de l’acide nucléique viral seul et non de la particule virale complète.

Transformation : toute modification de la morphologie, de la biochimie ou des paramètres de la croissance d’une cellule.

Tropisme : définit les tissus ou les cellules hôtes dans lesquelles un virus est capable de se multiplier.

Vaccin : préparation contenant une molécule antigénique ou un mélange d’antigènes suscitant une réponse immunitaire spécifique.

On peut distinguer trois types de vaccins viraux : des vaccins " tués " (virus pathogènes inactivés), des vaccins " vivants " (virus atténués par des mutations), des vaccins " sous unités " (mélange de sous unités vaccinantes)

Virion : particule virale morphologiquement complète infectieuse.

Viroïde : ARN monocaténaire circulaire infectieux de petite taille (200 à 400 nucléotides) ne codant aucune protéine mais capable de se répliquer. Les viroïdes n’ont été rencontrés jusqu’ici que chez les végétaux.

Virus helper : virus suppléant les fonctions absentes dans un virus défectif, lui permettant en cas de co-infection, de se multiplier normalement.

Virus lytique : virus provoquant la destruction physique de la cellule infectée au cours de la phase de libération. Les virus nus sont souvent des virus lytiques.

Zoonose : infection transmise de l’animal à l’homme.

لا تنسوني من ردودكن و دعواتكن

خليجية

في أمان الله

خليجية





mercii



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ساعدوني help me

سلام عليكم بنات انا اليوم بدي اسئلكم عن دراسة الاقتصاد بالجزائر او ياريت تجابوني
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انا بدي ادرس اقتصاد انشاءالله ما هو المعدل المطلوب بالجزائر لدراسته

هل دراسته صعبة ولا سهله

و هل يجب عليكي ان تكوني كثير بتعرفي الرياضيات ولا لدراسته يجب ان تكوني بتعرفي علوم طبيعة او اي شيء بتعرفوه عن الاقتصاد جاوبوني عليه لاني ما بعرف غير اسموا مستنية ردودكم:11_1_123[1]:




ليش ما في رد



ارسلي رسالة خاصة لزهرة الجزائر وهي ترد عليكي شكرلك



انا رح اطلب من زهرة الجزائر مساعدتكي ان شاء الله
فهي طالبة جامعية في الجزائر

ودراستها بيولوجيا وليس اقتصاد بس اكيد رح تفيدك يا غلا

موفقة ان شاء الله




راكي هنا زهرة

اتكل عليكي يا غلا




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BA .Chapitre 2 : L’embranchement des vertébrés.

I Les caractères fondamentaux.

Le caractère essentiel des vertébrés est la superposition de quatre organes :

– Le système nerveux.

– La corde.

– L’aorte.

– Le tube digestif.

– Le tube nerveux : il correspond à la moelle épinière (ou neuraxe). C’est un creux poursuivi par le canal rachidien qui contient le liquide céphalorachidien dont la composition est proche de celle du plasma.

– Les fentes branchiales : elles ne subsistent à l’état adulte que chez les vertébrés aquatiques. Elles s’ouvrent au niveau du pharynx, associées à la structure pharyngotrème.

– La notocorde : c’est l’axe de soutien dorsal qui disparaît à l’état adulte, où il sera remplacé par une formation squelettique : le rachis. Ce dernier est composé d’une succession de vertèbres ayant des formations osseuses métamériques.

– L’endosquelette : c’est le squelette interne, entouré de tissus. Il a une structure axiale avec, à l’avant, le crâne, et à l’arrière, le rachis. Chez l’Homme, bipède, le rachis s’est redressé à la verticale pour donner la colonne vertébrale. Le système nerveux central est dans le squelette, comme la moelle épinière est dans le rachis. Cet endosquelette sert donc à protéger les organes fragiles comme le système nerveux central. Le crâne est très caractéristique de chaque espèce.

– La queue : elle est postérieure (à l’arrière de l’anus) et présente une forte musculature. Elle était à l’origine un organe locomoteur.

– Le cloaque : c’est une invagination du tégument formant une poche qui débouche à l’extérieure par un orifice unique. Dans le cloaque débouchent le rectum (terminaison du tube digestif), les canaux urinaires et génitaux. Toutefois, chez les mammifères supérieurs, le cloaque se cloisonne pour chacun des orifices.

– L’ectoderme : il donne naissance à un tégument pluristratifié : c’est le cas de l’épiderme. A la , on a une assise de cellules dites génératrices, qui produisent en permanence des cellules repoussées vers l’extérieur. Au fur et à mesure, elles se chargent de kératine. Progressivement, la quantité de kératine augmente et les cellules meurent. Ces cellules mortes vont s’exfolier. Dans certains cas, ce tégument ne s’exfolie pas mais est changé dans son intégralité : on parle alors de mue.

Le tégument peut produire des phanères visibles. Si elles sont produites par le derme, elles donneront des formations osseuses (écailles de poissons et cornes de cervidés). Si elles sont produites par l’épiderme, on obtiendra avec la kératine des formations cornées (griffes, ongles, plumes, poils, écailles de reptiles, cornes creuses des vaches).

II L’origine embryonnaire des organes.

Le cœlome se creuse et donne 2 sacs qui, en se séparant, formeront deux régions morphologiques :

– Une partie dorsale (le myotome) qui entoure une cavité omyocète, les somites (segments para axiaux), avec une métamérie typique.

– Une partie ventrale (inférieure) : le splanchnotome (lame latérale) où les sacs fusionnent en une cavité unique (pas de métamérie).

– On a aussi une pièce intermédiaire métamérisée qui donne un cœlome en trois parties : le néphrotome (à fonctions urinaire et génitale).

Les somites vont proliférer et combler la cavité en donnant les muscles striés. C’est pourquoi ces muscles ont une succession métamérique.

La pièce intermédiaire donne essentiellement l’appareil excréteur en formant la cavité cœlomique, unique au départ, puis donnant la cavité abdominale, scindée à l’avant pour donner la cavité péricardique (où se formera le cœur).

Les somites émettent en direction du tube nerveux un prolongement : le schlérotome. C’est une zone de prolifération cellulaire dont les cellules formées vont se détacher et migrer pour entourer le tube nerveux. Ce phénomène donnera naissance aux vertèbres. Les somites étant métamérisées, les vertèbres le seront aussi.

L’endoderme donne le tube digestif. La paroi interne du sac cœlomique forme la splanchnopleure : tissu de suspension des organes dans la cavité abdominale.

III Phylogénie des vertébrés.

A Le sous-embranchement des Agnathes (sans mâchoire).
Ils n’ont pas de nageoires paires et certaines espèces fossiles avaient des nageoires pectorales. En général, ils ont des nageoires dans le plan médio-sagital du corps.

Ce sont les premiers vertébrés à apparaître (à l’ordovicien).

1 Le groupe des ostracodermes (carapace – peau).

C’est un groupe uniquement fossile : les poissons cuirassés. Ils ont un squelette superficiel osseux. La partie antérieure du corps est dans une carapace formée de plaques rigides osseuses. Ils ont donc un double squelette : interne et externe. Leur bouche est circulaire, sans mâchoires et leur nutrition est mucocilaire (microphage). Ils ont une structure pharyngotrème.

Ils ont ensuite régressés au carbonifère.

Les agnathes ne subsistent que sous la forme des cyclostomes : les lamproies.

2 Les cyclostomes.

Ils ont la peau nue (pas de carapace externe) et leur squelette est non ossifié. Ils possèdent une narine unique qui ne communique pas avec la bouche.

Les vertèbres ne se forment pas. La corde est flanquée de part et d’autre de cartilage : les cartilages paracordaux.

Ils ont changé de mode de vie, sauf la larve (l’ammocète) et sont passés au parasitisme. Ils ont une bouche en entonnoir avec une formation cornée appelée odontoïde. Au fond de la bouche, on trouve la langue.

Ils se fixent sur un poisson, rappent la peau, sécrètent de la salive coagulante et aspirent le sang de l’hôte. Ils sont en général marins et se reproduisent dans les rivières à l’état adulte.

Ils n’ont pas pu arriver à nous car ils n’ont pas changé de mode de vie : ce ne sont pas nos ancêtres.

B Le sous-embranchement des gnathostomes (bouche – mâchoire).
Ils sont apparus à l’ordovicien.

L’apparition de mâchoires permet un changement radical de la nutrition : ils pourront devenir des prédateurs : nutrition active.

On note aussi l’apparition de membres en nombre pairs.

1 La classe des chondrichtyens (cartilage – poisson).

Leur squelette interne ne s’ossifie pas (il reste sous forme de cartilage) mais on trouve toutefois quelques points d’ossification : le derme fabrique des écailles osseuses avec, en leur centre, une pointe minéralisée (émail).

Les fentes branchiales s’ ouvrent directement vers l’extérieur (5 à 7 paires de branchies). En arrière de l’œil, on trouve un orifice supplémentaire : l’évent . Celui-ci fait communiquer la bouche avec, en arrière, l’extérieur. La nageoire caudale est dissymétrique.

Les chondrichtyens sont très nombreux à la fin de l’ère primaire, puis se sépareront en deux groupes.

a L’ordre des pleurotrèmes.

Les fentes branchiales sont sur les côtés et le corps est fusiforme. Les yeux sont en position latérale. On trouve parmi ces pleurotrèmes le groupe des squales.

b L’ordre des hypotrèmes.

Leur corps est aplati dorso-ventralement. Les nageoires sont hyper-développées et se rejoignent à la tête.

La raie.

2 La classe des ostéichtyens (poissons osseux).

Le squelette est ossifié. L’évent disparaît pendant le développement embryonnaire. Il se forme une vessie gazeuse : l’œsophage va émettre un diverticule dorsal qui se développe et qui remplie dorsalement toute la cavité abdominale. Ce sac est rempli de gaz. Il permet au poisson d’équilibrer sa masse avec la densité de l’eau et la poussé d’archimède.

Les écailles sont osseuses (dans la majorité des cas, il n’y a pas d’émail). La queue tend à être symétrique. Le rachis ne pénètre pas dans celle-ci : elle est alors dite homocerque.

On a deux lignées distinctes.

a Les actinoptérygiens (rayon – nageoire).

Les nageoires sont des excroissances latérales du tégument, articulées par une large (ou charnière). Ce tégument est sustendu par des rayons osseux en éventail.

A l’ère secondaire, cette sous-classe explose.

L’ordre des téléostéens : ils regroupent 20 800 espèces, soit la moitié de tous les vertébrés actuels (45 000).

b Les sarcoptérygiens (chaire – nageoire).

La nageoire est charnue et s’allonge. Sa musculature y rentre à l’intérieur. Cette nageoire devient autonome, la charnière se rétrécie pour devenir une rotule.

Ses sarcoptérygiens sont subdivisés en deux groupes.

α Le groupe des actinistiens.

C’est le cas du cœlacanthe. Sa vessie gazeuse forme un poumon dégénéré rempli de graisse. Ses nageoires pédonculées sont utilisées comme des échasses pour le soulever du fond.

β Le groupe des dipneustes (deux respirations).

Leur vessie gazeuse forme des poumons qui respirent aussi bien à l’air libre que dans l’eau. Il en reste six espèces :

– Protoptérus (Afrique).
– Neoceradotus (Australie).
– Lepidosiren (Amérique du sud).

Ces poissons peuvent s’enfouir dans la vase lors de la mauvaise saison (adaptation au milieu de dessiccation).

3 La classe des amphibiens (double vie).

Remarque : A partir des amphibiens, on passe chez les tétrapodes.

Ils ont une respiration pulmo-cutanée (échanges respiratoires par la peau qui doit rester humide grâce à des sécrétions de mucus). On observe un renforcement du rachis (contre l’action de la gravité). Le membre sarcoptérygien donnera le membre des tétrapodes.

Les amphibiens ne s’affranchissent du milieu marin que sous leur forme adulte.

La larve aquatique a une respiration branchiale. Elle deviendra adulte en subissant une métamorphose.

On distingue deux groupes :

– Les urodèles : (ils possèdent une queue) triton, salamandre.
– Les anoures : (sans queue) grenouille, crapaud.

4 La classe des reptiles.

Les reptiles se sont définitivement affranchis du milieu aquatique pour l’œuf amniotique.

Le développement larvaire est remplacé par le développement de l’embryon dans l’amnios.

La respiration est pulmonaire ; la peau se recouvre de phanères : les phanères épidermiques cornés qui donneront des écailles cornées.

C’est un groupe florissant avec actuellement trois grands ordres.

a L’ordre des Rhynchocéphales (bec – tête).

On ne trouve plus qu’une seule espèce : le sphénodon (Hattéria) ou lézard de Nouvelle Zélande. C’est une espèce qui a conservé un caractère primitif : un troisième œil (œil pinéal) au-dessus du crâne (organe sensible uniquement à la lumière).

b L’ordre des Chéloniens (tortues).

On y trouve à peu près 250 espèces.

Ils possèdent un bouclier de kératine, externe (carapace) comme les ostracodermes. Ils n’ont pas de dents : leurs mâchoires sont recouvertes d’un bec corné. Ils sont terrestres bien que certaines espèces retournent à l’eau.

c L’ordre des Squamates.

C’est le plus important, il représente 98% des reptiles (5000 espèces).

Il présente deux caractères particuliers :

– Les mâles ont un double pénis (fonctionnel selon la position pendant l’accouplement.
– L’os carré, au niveau du crâne, est mobile et permet ainsi une grande ouverture de la gueule).

α Le sous-ordre des Lacertiliens (lézard).

Leurs paupières sont mobiles, le tympan est visible de l’extérieur (derrière les yeux). Les écailles ventrales sont disposées sur plusieurs rangs.

Le renouvellement de la peau se fait par « mue par lambeaux ». Ils présentent une autonomie de la queue : elle s’en va facilement puis repousse. Ils ont quatre pattes mais avec une tendance à la réduction : chez les Seps, les pattes sont minuscules et chez les orvets, celles-ci ont disparu.

β Le sous-ordre des Ophidiens.

Leurs paupières sont soudées et transparentes. Ils n’ont pas de tympan. Les écailles ventrales sont sur une rangée de la tête à l’anus. Leur mue est intégrale. Certaines espèces produisent du venin dans des glandes salivaires modifiées. C’est un groupe terrestre avec quelques retours à l’eau.

d L’ordre des Crocodiliens.

Ils ont développé des pattes postérieures palmées pour la nage (le déplacement est assuré par la queue). Les narines et les yeux sont repoussés vers le haut du crâne (crocodile, gavial, caïman et alligator).

Les prochaines étapes seront l’acquisition de l’homéothermie (régulation de la température interne).

5 La classe des Oiseaux.

La température dépend du métabolisme : ce sont des endothermes. On a donc une augmentation de la consommation de nourriture et une protection des jeunes (l’homéothermie apparaît progressivement après la naissance). Ces animaux ont une vie active toute l’année.

Ils sont apparus il y a 180 millions d’années à partir des dinosaures. Ils sont amniotes. Leurs écailles se sont mobilisées pour donner les plumes. Leur température interne est élevée (40 à 41°C) avec un fort métabolisme.

Les oiseaux fossiles avaient des dents, mais ils n’en ont plus : ils ont des mâchoires à bec corné. Le membre antérieur s’est transformé en aile : il ne touche plus le sol. Les oiseaux sont toujours des tétrapodes.

Ils sont dits pseudobipèdes (pseudo car leur colonne vertébrale est restée horizontale).

Les œufs ont une membrane imprégnée de sels calcaires ; les jeunes sont élevés dans un nid.

a Les ratites.

Ils n’ont pas de capacité au vol. Leur bréchet est absent : pas de muscles pour le vol. Ce sont des oiseaux coureurs (Autruches, Nandous, Emeux, Kiwi).

b Les charinates.

Ils ont l’aptitude au vol, bien que certains aient pu la perdre pour revenir au milieu aquatique (manchots). Leur bréchet en coupe transversale présente une charène.

6 La classe des mammifères.

Ce sont des homéothermes dont les phanères épidermiques forment des poils. Leur peau possède des glandes cutanées et de nombreuses glandes sébacées sont associées aux poils où elles sécrètent le sébum pour que le poil luise.

Les glandes sudoripares : elles sécrètent un liquide riche en azote et en ions : elles contribuent à une excrétion de vapeur qui permet un dégagement de calories pour assurer une partie de la régulation thermique.

Les glandes mammaires : elles produisent une sécrétion (le lait) pour la nutrition du jeune.

Les mammifères sont apparus en même temps que les dinosaures. Ils ont été obligés d’attendre que ces reptiles s’éteignent pour pouvoir se développer.

On a trois lignées différentes de mammifères qui se sont maintenues jusqu’à nos jours.

a L’ordre des Monotrèmes (protothériens, cloaque commun).

C’est un petit groupe qui vit en Nouvelle Zélande. Les ornithorynques sont des mammifères sans dent et avec un bec corné. Ils sont plus ou moins aquatiques.

Les Echidnés sont terrestres, primitifs, reptiliens, pondent des œufs et leur homéothermie est imparfaite (entre 25 et 36°C). Les canaux des glandes mammaires ne se regroupent pas : chacun a son orifice. Le lait coule le long des poils et le jeune lèche ce lait sur le corps maternel.

Pour les prochains groupes, le cloaque est cloisonné.

b L’ordre des marsupiaux (Métathériens).

Les canaux galactophores se regroupent en mamelles. La vie intra utérine est courte. Le placenta est incomplet et ne permet pas de barrière immunologique : l’embryon est expulsé. Il va remonter sur la mère pour gagner la poche marsupiale qui est tendue par deux os dits « pelviens ». Là, le jeune saisie une mamelle reste dans cette poche jusqu’au terme.

On trouve les marsupiaux surtout en Australie et en Amérique du sud. Avant, on les trouvait partout.

c L’ordre des placentaires (les Euthériens).

C’est un groupe qui regroupe autour de 4000 espèces.

α Le sous ordre des Rongeurs.

C’est le groupe dominant. Il est composé de 1750 espèces.

β Le sous ordre des chiroptères.

C’est le groupe des chauves-souris. Il comporte 920 espèces.

γ Le sous ordre des insectivores.

Il regroupe 370 espèces dont les musaraignes.

δ Le sous ordre des carnivores.

Il est composé de 250 espèces dont le chat, le chien, le lion, le tigre.

ε Le sous ordre des primates.

Il est composé de 160 espèces.

ζ Le sous ordre des artiodactyles.

Ce groupe rassemble les gazelles, les antilopes, les bœufs, les moutons.

η Les autres sous ordres.

Ce sont des groupes anecdotiques qui comporte chacun, une ou quelques espèces.




شكرآ زهرة ~



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سؤال وطلب اجابه؟؟

السلام عليكم ورحمة الله وبركاته
لوسمحتوا ياخوات حبيت اسأل عن تقديم لهذي السنه 1443ه عن قسم علم النفس في جامعاتنا جامعات السعوديه هل في انتساب واذافيه في اي جامعه طبعا تخصص علم النفس وعلم الاجتماع الي عندها خبر ترد علي وتفيدني الله يسهل اموركم انشاءالله…………..
:428::frasha12:



بنات وينكم وين الاجابات ؟؟؟؟؟



والله ماندري بس اسالك



موفقه يا عمري



ايه انا سألت قالو فيه في جامعة الملك سعود وجامعة الاميرة بس بتأكدلك



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تخصصات البيولوجيا "lmd" السنة الثالثة المتوفرة في كلية العلوم بجامعة أمحمد بوقرة بولاية بومرداس بالجزائر

خليجية

السلام عليكم

خليجية

تخصصات البيولوجيا "LMD" السنة الثالثة المتوفرة في كلية العلوم بجامعة أمحمد بوقرة بولاية بومرداس


Biologie Moléculaire : Elle s’adresse aux étudiants qui souhaitent acquérir une formation faisant appel aux disciplines classiques de Génétique et de Biologie Moléculaire et celles plus récentes portant sur la maîtrise des techniques modernes de Biologie moléculaires.

Biochimie: Elle s’adresse aux étudiants qui souhaitent acquérir une formation dans le domaine macromoléculaire. Elle est caractérise par la combinaison d’approches de biologie moléculaire en immunologie, neurobiologie et de visualisation dynamique du vivant.

Biologie appliquée: أنا درست هذا التخصص و أعجبني كثيرا
Elle convient aux étudiants qui envisagent une carrière dans le secteur industriel des biotechnologies, de l’agroalimentaire et de la santé ou qui envisagent un métier dans le Contrôle de la Qualité, la Certification d’entreprise (normes et analyse du risque), la veille technologique et concurrentielle (consultant, PME). Nous souhaitons leur apporter une formation dans des domaines de pointe de la biologie tout en leur donnant un ensemble de connaissances leur permettant d’évoluer.

Biologie et physiologie Animale : Elle s’adresse aux étudiants qui souhaitent acquérir des connaissances approfondies en biologie cellulaire et physiologie animale par la maîtrise des aspects cellulaire, histologique et physiologique de tous les organes de l’organisme humain et animal, et de comprendre les structures, les fonctionnements des constituants biologiques ainsi de former des spécialistes aptes à s’intégrer dans des équipes de recherches ou professionnelles, et aptes à poursuivre des études plus approfondies.

Ecologie Végétale: Au niveau des sociétés, les changements survenus durant les cinq dernières décennies sont spectaculaires, et en tant que résultante spatiale des interactions Homme/Nature, le milieu a connu des mutations profondes, particulièrement en région méditerranéenne. En terme de gestion, les interrogations sont nombreuses et relativement nouvelles dans la mesure où les situations socio-écologiques auxquelles les gestionnaires sont confrontés, n’ont pas vraiment d’antécédents. C’est pourquoi le chercheur en écologie a désormais un rôle important à jouer dans le choix des orientations en matière d’aménagement du territoire.

La licence a pour if de donner des connaissances de haut niveau à la fois théoriques et pratiques sur : le fonctionnement des écosystèmes, la dynamique des populations, les stratégies adaptatives et la gestion des écosystèmes. Mais aussi est surtout sur : l’approche pratique de l’étude des écosystèmes (terrain et laboratoire, appareillage et techniques), les méthodes de suivi des écosystèmes et des populations, les stratégies d’échantillonnage, l’analyse et le traitement des données. Aussi la compréhension des mécanismes régissant les êtres vivants et à la perception de leurs réponses aux contraintes et aux changements globaux pour une meilleure gestion de l’environnement et une conservation des ressources et de la biodiversité. Les diplômes devront être capables de suivre l’évolution d’un écosystème ou d’une population, détecter un dysfonctionnement et en recherche l’origine, gérer un écosystème ou une population naturelle, suivre un dossier administratif se rapportant à l’environnement, ou à l’aménagement d’un écosystème.

Biotechnologie Techniques et applications en biologie cellulaire et moléculaire: Formation à caractère professionnel, elle s’adresse aux étudiants qui envisagent d’une part l’acquisition des s fondamentales et théoriques de la biologie moléculaire; et d’autre part la maîtrise des techniques et outils de de la biologie moléculaire en l’occurrence ; l’extraction et l’analyse des acides nucléiques, amplification de l’ADN, marqueurs moléculaires, hybridation d’ADN, et transfert

قريبا إن شاء الله نحاول نحظر موضوع عن هذه التخصصات و مقاييسها و الدروس بإذن الله

لا تنسوني في الردود يا حلوات

خليجية

في أمان الله

خليجية




يسلمووو قلبوو }



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طريقة رائعة للبحث عن مذكرات التخرج لكل الاختصاصات

أعلم أن الكثيرين يعتمد علي google للبحث علي موضوع مذكرته لكن يشتكون دائما من قلة أو عدم وجود المعلومات
اليكم طريقة فعالة جربتها و جربها الكثير و كانت النتائج مذهلة
1-أولا يجب ألا تكتب العنوان كاملا في google بل يجب أن تعلم الكلمات المفتاحية لموضوعك
مثال للميكان
Fatigue hrmoécnqdlspyè/- : Composites à fibres de carbone – Endommagement – Mécanique de l’ (milieux continus) – Ondes sonores – Thermographie – Radiographie
مثال للالكترونيك
Composants pour la génération et la détection d’impulsion térahertz
mots-clés : térahertz – diode à effet tunnel résonnant – photomélangeur – photodiode à transport unipolaire
مثال هندسة مدنية
COMPORTEMENT D’OUVRAGES DE PROTECTION EN BETON ARMÉ SOUS IMPACTS ANALYSES ET PROPOSITIONS
mots-clés : béton armé – impact – dynamique – expérimentation – modèles simplifiés – éléments finis – ouvrage de protection – éléments discrets – analyse inverse
لقد لاحظتم الفرق بين العنوان و الكلمات المفتاحية
2- و هنا السر الذي يخفي علي الكثيرين. نعلم ان google يعرض المواقع الاشهارية و التي تزعجنا في البحث و هو يعطي الاولوية في نتائجه للكلمات المكتوبة حسب الترتيب لذا هناك طريقة تجبره علي أن يقدم فقط الدراسات الاكادمية حول الموضوع وهو هدفنا
-قبل أن تكتب الكلمات المفتاحية أكتب أحد الكلمات التالية
Thèse-chapitre-article- journal
ابحث العديد من المرات و في كل مرة استعمل أحد الكلمات السابقة
أو للتا بالعربية
فصل-محور-مقال-مجلة
ومن الافضل أن تكتب في الاخير filetype pdf للحصول علي ملفات pdf فقط
ستجدون بهذه الطريقة نتائج مذهلة
مثال ميكانيك
Thèse composite filetype pdf
Chapitre optimisation fraisage filetype pdf
Article vibration filetype pdf
مثال الكترونيك
Thèse génétique algorithme filetype pdf
Chapitre logique floue filetype pdf
Article simulation matlab filetype pdf
مثال مدنية
Thèse dynamique structure filetype pdf
Chapitre sismique vibration filetype pdf
Article béton armé filetype pdf
في الاخير أهدي لكم موقع فيه كل أطروحات الدكتوراه بفرنسا تقريبا للمهندسي
لك ليس ك google أكتب فقط
أحد الكلمات المفتاحية
http://tel.archives-ouvertes.fr/

م/ن للافادة




خليجية



يعطيك اآآلف عآآآآآآآآآآآآفية ياعسل

~~~~~~~~(():,.)




منوؤوؤرآأت حبيبتي~



يعطيك العافية

طرح جميل ومفيد




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Chapitre 8 : Les Angiospermes.

I Généralités.

C’est un sous-embranchement des spermaphytes qui est divisé en deux sous-classes : les monocotylédones et les dicotylédones. Ces angiospermes sont caractérisés par la présence de l’ovule dans un ovaire et de la graine dans un fruit. Les organes reproducteurs (à l’origine des gamètes) sont placés dans une structure particulière : la fleur.

II Cas d’un dicotylédone avec Ranunculus acris.

A L’appareil reproducteur mâle (les étamines)

Les étamines sont constituées d’un filet (pédicelle rattaché au réceptacle floral) et d’une anthère où se différencie le pollen. Chaque anthère est constituée de deux loges, symétriques par rapport au filet, qui comportent chacune deux sacs polliniques. Dans une étamine jeune, chaque étamine jeune comprend une masse centrale de grosses cellules à noyaux volumineux : ce sont les archéspores. Elles sont entourées de plusieurs assises de cellules : par les cellules nourricières qui forment le tapis, par plusieurs assises transitoires, par une assise mécanique dont les cellules lignifiées interviennent dans l’ouverture de l’anthère et par un épiderme.

Les archéspores subissent la réduction chromatique et donnent, chacun, quatre microspores (à N chromosomes).

Remarque :Chez les monocotylédones, il y a cloisonnement après chaque division cellulaire, alors que chez les dicotylédones, il y a cloisonnement toutes les deux divisions.

Les microspores se divisent une nouvelle fois et s’entourent d’une paroi épaisse, ornementée, et constituée de deux couches (l’exine et l’intine). L’exine est percée de pores germinatifs. A maturité, chaque grain de pollen contient une cellule végétative à gros noyau et une cellule reproductrice à petit noyau. Le grain de pollen est le gamétophyte mâle qui va se disséminer. Ce grain a commencé son développement dans l’anthère, avant de se charger en matériaux de réserve et de subir la déshydratation qui le fait passer à l’état de vie ralentie (parfois, on a seulement des loges polliniques). L’ouverture des anthères se fait grâce à la dessiccation. La longévité d’un grain de pollen est variable (graminées : un jour ; rosacées : 100 jours).

B L’appareil reproducteur femelle.

Il est constitué par :

– Les carpelles qui sont, chacun, formés par une partie renflée et creuse qui contient un ovule.

– Un style court, terminé par un stigmate formé de papilles.

– L’ovule est constitué par une partie tégumentaire formée de deux membranes. Ces deux membranes sont interrompues par une minuscule pore : Le micropyle. L’ovule est inséré sur la partie renflée de l’ovaire, sur le placenta. Cet ovule est relié au funicule.

Chez la renoncule, l’ovule est anatrope : le micropyle est en bas, proche du placenta. Le plan de raccordement du funicule et de l’ovule s’appelle le hile. (anatrope = complètement renversé).

Dans le funicule, pénètre un faisceau de tissus conducteurs qui se ramifient au niveau de la chalaze. A l’intérieur de l’ovule se trouve le nucelle.

Remarque :On a différents types d’ovules : droits (ou orthotropes), les axes du funicule et du nucelle sont confondus ; courbes (ou campylotropes), les axes du funicule et du nucelle sont perpendiculaires.

C La réduction chromatique.

Le sac embryonnaire, dans le nucelle, représente le prothalle femelle. A l’origine, c’est une cellule épidermique qui s’est divisée en une cellule pariétale (qui avorte) et en une cellule sporogène. C’est cette dernière qui va subir la réduction chromatique en donnant quatre tétraspores dont trois qui vont dégénérer. La spore la plus interne va subsister et va constituer le sac embryonnaire.

D Le gamétophyte femelle.

Après les divisions du mégaspore, les noyaux se répartissent en trois complexes :

– Le pôle microplylaire : l’oosphère est associée à deux synergides.

– Le pôle de la chalaze : c’est un groupe de trois cellules, les antipodes

– La zone centrale qui contient deux noyaux «polaires ».

E Pollinisation et germination.

Pour la renoncule, la pollinisation se fait par les insectes et par le vent. Le grain de pollen va se déposer sur le stigmate, va germer en produisant un long tube pollinique qui s’enfonce dans le nucelle jusqu’à l’ovule. Le noyau reproducteur du pollen se divise en deux spermatozoïdes.

Le tube peut pénétrer par le micropyle : c’est une porogamie.

Il peut rentrer par la chalaze : c’est une chalazogamie.

La durée de croissance du tube va de quelques heures à quelques mois.

1 La fécondation.

Le contenu du tube se décharge dans le sac embryonnaire. L’un des spermatozoïdes s’unit avec l’oosphère et donne le zygote principal (à 2N). L’autre spermatozoïde s’associe aux noyaux polaires et va former un zygote accessoire (à 3N). C’est la double fécondation des angiospermes.

2 La graine.

Le zygote principal donne une plantule avec deux feuilles embryonnaires (les cotylédons). Le zygote triploïde va donner l’albumen. Au cours du développement de la plantule, les réserves s’accumulent dans l’albumen et dans les cotylédons. Les téguments se lignifient (durcissement). Passage à l’état de vie ralentie, puis, dispersion.

On a différents types de téguments :

– La caroncule, qui est un bourgeonnement au niveau du micropyle du ricin.

– L’arille, qui est un bourgeonnement au niveau du hile.

– L’arillade qui est un revêtement recouvrant la graine.

3 Les différents types de graines.

Selon l’évolution du nucelle, on obtient :

4 La germination.

Elle a lieu quand la graine est dans un bon état physiologique et quand les conditions du milieu sont favorables. Un bon état physiologique est caractérisé par un grand pouvoir germinatif qui dépend de l’état de maturité des graines (certaines germent immédiatement mais pendant un temps très court, d’autres ont une germination différée : elles ne peuvent germer qu’après une «dormance » ayant plusieurs origines : les téguments de l’embryon sont immatures, des inhibiteurs de levée de dormance sont présents et doivent être éliminés par des conditions favorables du milieu : réhydratation).

Cette germination a lieu quand des conditions favorables comme la concentration en oxygène, la température, la quantité de lumière, ou, des facteurs biologiques sont réunis. Il y a alors croissance de la radicule et émission d’un bourgeon (la gemmule) qui donnera les premières feuilles. Il y a parfois une tigelle entre la radicule et la gemmule.

On a deux types de germination :

· La germination épigée (exemple, le haricot). La graine est soulevée hors du sol car il y a un accroissement rapide de la tigelle qui donne l’axe hypocotyl qui soulève les deux cotylédons hors du sol. La gemmule se développe (après la radicule) et donne une tige feuillée au-dessus des deux cotylédons. Le premier entre-nœud donne l’épicotyl. Les premières feuilles, au-dessus des cotylédons sont les feuilles primordiales (elles sont plus simples que les futures feuilles).

· La germination hypogée (exemple, le maïs). La graine reste dans le sol, la tigelle ne se développe pas et les cotylédons restent dans le sol.

Bilan sur les angiospermes :

Ils ont un cycle haplo-diplopasique (surtout sporophytique). Les gamètes femelles sont parasites du sporophyte. La fécondation est une siphonogamie (attention, c’est une double fécondation).

III Les archégoniates cormophytes.

A partir des mousses, l’évolution des gamètes mâles et femelles donne une diminution du territoire végétatif du prothalle et la perte de son indépendance.

Passage au milieu aérien et mode de vie.

Le gamétophyte mâle se développe à partir des réserves accumulées dans les spores. Il y a diminution du nombre d’anthéridies.

Le gamétophyte femelle : le prothalle cesse d’accumuler des réserves, elles seront élaborées après la fécondation. Ce sont les gamétophytes les plus évolués.

La réduction des gamétophytes et des gamétanges est une stratégie évolutive. Cette stratégie entraîne, un allongement du cycle de développement (80 heures pour les champignons et plusieurs années pour les fleurs), la suppression partielle de la génération haploïde indépendante (fragile), l’affranchissement des aléas d’un approvisionnement énergétique et en eau, en permettant le développement de prothalles parasites du sporophyte.

L’évolution a d’abord formé des gamètes mobiles dans l’eau pour les algues et les mousses, puis des gamètes véhiculés, pour les archégoniates, par les tubes polliniques grâce à la siphonogamie. Celle-ci permet un affranchissement de l’eau pour effectuer la fécondation. C’est aussi le passage d’une fécondation simple à une fécondation double qui conduit chez les angiospermes à la formation d’un embryon « nourrice » ou albumen.




شكرآ زهرة ~



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الرجاء الدخول

سسسسسسسسسسسساعدوني

ابغى اسجل بالكليه تخصص إنقليزي وانا مو مره فيه لان مستقبلة كبير بعد الله

ايش الحل:frasha11:




حبيبتي ادخلي اي تخصص تحسين انك تمشين فيه ومتمكنه منه
وأما الانجليزي تقدرين تأخذينه بأي معهد
وبالتوفييييييييييييييييق



صلــي استخاره ياقلبي
وشوفي أي قسم ترتاحين فيه…:)



تسلموا بس الإنقليزي مستقبلة مضمون
وفي واحد نعرفه قال الدرسات الإسلاميه واللغة العربيه صعب توظيفهم لانهم اكتفوا



قلبي
باأمكانك
تدخلي
هذا القسم
بس ضروري
تاخذي
دوره
وكمان مدرسه خصوصيه
تكون عندك
موبس وقت الامتحان
تكون ماشيه معك علي المنهج
الله يوفقك



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وينكم يابنات الجامعه !مساعده

هلا بأحلى صبايا بالمنتدي
انشالله تكونو بخير
رح أدخل بالموضوع بدون مقدمات..:icon_evil:
يابنات بليز اللي بتعرف موقع رائع لتحميل مراجع جامعيه لمواد كلية الصيدله بليز بليز تقولي
والله مليت وانا ببحث ع نت ومافي فايده
لاتنسوني:a2::a2:
ودمتم بصحه وعافيه ياغاليات:4:



عزيزتي هذا موقع للمراجع و الكتب الطبيه
قد يفعك
اعتذر العدم قدرتي على المساعدة بالشكل المطلوب
http://www.ibtesama.com/vb/forumdisplay-f_233.html



ايضا وجدت المكتبة الطبية العربية – كتب ومراجع علمية

رابط المكتبة
http://www.syrianclinic.com/syriancl…l-library.html




موفقة