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Les types de texte:


Un type est une catégorie de classement de textes fondée sur des critères linguistiques observables dans le texte même. C’est le terme qu’utilise J.-M Adam, chercheur spécialisé en ce domaine. On utilise aussi le termes types de discours ou formes de discours (Weblettres).
Pas mal de textes sont cependant constitués à partir de séquences textuelles de types différents.
On peut ainsi trouver des poésies dont le type est à la fois deif, narratif, dialogué et argumentatif (c’est le cas de la fable). A l’inverse, un type de texte narratif peut être représenté par des genres différents : roman, conte, fait divers, bande dessinée…
Les sept types de textes :
– Narratif.
-Deif.
-Argumentatif.
-Expressif.
-Injonctif.
-Explicatif.

1)-le Types Narratif:

Le texte narratif est une texte qui peut être réel ou imaginaire. Il comprend en son sein un processus de transformation. Il peut être écrit de façons très différentes ce qui peut le rendre assez complexe selon le schéma narratif qu’il suit et le point de vue de la narration qu’il adopte. On le retrouve surtout dans trois genres : le roman, le conte et la nouvelle.
1. Définition:

Le texte narratif appelé aussi récit est une histoire qui peut être réelle ou fictive : récit d’aventures, récit historique, récit merveilleux… Il est raconté par un narrateur soit à la 1re (je) ou 3e personne (il, elle), selon qu’il est ou non impliqué dans le récit.
2. élément:
Le texte narratif décrit une succession de faits qui s’enchaînent. Les verbes d’action et de mouvement renseignent sur la progression de l’histoire, à laquelle participe(nt) un (ou plusieurs personnages). Celui qui raconte ; le narrateur peut, lui aussi, être un personnage de l’histoire qu’il raconte.
L’histoire se déroule en un temps et un lieu donnés d’où l’utilisation de compléments circonstanciels de lieu et de temps définissant le cadre spatio-temporel de l’action. Parfois, le temps auquel les verbes sont employés suffit à suggérer la durée.
NB : verbes au passé simple = récit ; mais tous les récits ne sont pas tous au passé simple !

3- exemple:
"Dans la Capitale nationale, à l’aube du XXIe siècle, un détective, Karl, au feutre noir et au long manteau sombre n’avait pas de boulot depuis au moins six mois. Sa vie était calme et sans histoires jusqu’au jour où il reçut la visite d’un mystérieux personnage

2-) le Types deif:

1. Définition générale:
Le texte deif représente des objets, des lieux, des personnages dans un espace donné. Lorsqu’il s’agit de personnages, on parle plutôt de portrait.
On reconnaît un texte deif à la présence nombreuse d’imparfaits dans un contexte au passé (attention : une deion est au présent dans un contexte au présent). On peut noter également la présence de repères spatiaux (plus loin, sur…) ; le lexique utilisé comprend en général beaucoup de noms et d’adjectifs servant à caractériser l’objet, le lieu ou le personnage ; les verbes sont souvent des verbes d’état.
2. Fonction du texte deif:
Selon le texte dans lequel elle se trouve, une deion peut avoir pour fonction :
– de communiquer un savoir sur le réel : fonction informative, aire ;
– de renforcer la vraisemblance d’une histoire : fonction réaliste ;
– de livrer des métaphores, des connotations…, dont la valeur est symbolique ; la deion
devient alors image d’une autre réalité : fonction poétique;
– de servir à une démonstration : fonction argumentative ;
– de jouer un rôle dans le développement d’un récit (pour donner des indices importants pour
l’intrigue) : fonction narrative.
3. Organisation de la deion:
Un narrateur omniscient peut interrompre son récit pour décrire : c’est alors une deion neutre. Souvent, le romancier (en particulier les romanciers réalistes) préfère la deion subjective, associée à l’action et la perception d’un personnage.
En général, la progression de la deion est à thème divisé : un thème d’ensemble est développé en sous-thèmes correspondant souvent à autant de paragraphes.
Comme la narration, la deion est rarement présentée de manière isolée ; de plus, à partir du XIXme siècle, la fonction réaliste de la deion a été largement privilégiée, de sorte qu’elle fasse partie intégrante du récit et n’apparaisse plus comme un ornement gratuit et qu’on pourrait aisément retrancher.

3- le Typesargumentatif
1. Définition générale:

L’if de notre texte argumentatif est de convaincre le destinataire. Il est donc important de bien connaître qui est le destinataire pour mieux le convaincre.
2- Structure du texte argumentatif:
(vous pouvez allez voir directement à la fin de cette page pour un point de vue global)
Le texte argumentatif est formé de 3 parties;
1 ) introduction.
2) argumentations (corps du texte.) .
3) conclusions.
CONSEIL: Il est conseillé de commencer par compléter le corps du texte (2) et ensuite de reprendre les points pour les mettre dans l’introduction et la conclusion. Tous les points cités dans l’introduction doivent être traités dans le corps du texte et si possible mentionner brièvement dans la conclusion.Il faut lister les arguments pour et contre, chacun accompagné d’un exemple concret.ARGUMENT + EXEMPLE s’y rapportant
3.exemple:
La justice est une chose qui fait et doit faire partie de nos vies, ainsi elle est fondamentale pour chacun de nous. Elle est perçu comme le respect d’autrui, elle doit être exact, équitable et doit avoir le même sens pour tout le monde. Toutefois, on peut la fuir, essayer de s’en soustraire et même d’entreprendre l’injustice. Donc, est-ce que fuir est bien?
Dans ce texte, j’essaierai de démontrer que oui l’injustice est commis en essayant de fuir ce qui est justice, mais le prix à payer peut-être cher. Cette injustice peut être commis par n’importe quel individu dans n’importe quelle circonstance, mais il y en a qui sont plus importante que d’autre. Ainsi, elle peut impliquer de nombreux débats et susciter plusieurs points et plusieurs opinions.
Premièrement, fuir c’est commettre une injustice selon la loi de Socrate, parce qu’il a toujours dit qu’il ne fallait pas rendre injustice par injustice qui est de rendre le mal par le mal. Donc, s’il s’enfuit, tout ce qu’il a dit et fait depuis tant de temps ne sera plus valable. Au fond, il aura essayer de faire valoir ses idées pour rien. D’une autre part, le prix est cher si Socrate ne s’enfuit pas, car sa vie est en jeu. ***199;a prend beaucoup de courage et de volonté de vouloir mourir plutôt que de commettre une injustice. Ce n’est vraiment pas tout le monde qui oserait payer ce prix et peut-être même pas moi. Fuir n’est pas une chose honnête à faire. Tout d’abord, parce qu’on ne respecte pas ses engagements. Quand on prend un engagement, c’est qu’on n’y tient et on doit le respecter. Comme Socrate, qui lui c’est de faire valoir son opinion. Par exemple, cela peut-être seulement de faire le ménage de sa chambre chaque semaine, alors on doit veiller à ce que ça soit fait. Un engagement, c’est une initiative qu’on prend.




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